François Catala rejoint les équipes du Centre national de documentation pédagogique (CNDP) et de son directeur général, Jean Marc Merriaux, pour en prendre la direction générale adjointe.
Il est en particulier chargé du pilotage et de l’animation des services métiers du CNDP : direction de l’édition transmédia et de la pédagogie ; direction de la recherche et du développement sur les usages du numérique éducatif, direction de l’ingénierie de la documentation, de la formation et du patrimoine ; direction de la valorisation des offres ; direction de la communication ; direction du développement international. À ce titre, il participe à la stratégie de l’établissement, en particulier sur le numérique éducatif. Le CNDP, à travers sa mission de mise à disposition d’une offre diversifiée de ressources et de services numériques auprès de la communauté éducative, constitue un des acteurs de la stratégie ministérielle « faire entrer l’école dans l’ère du numérique ».
François Catala, jusqu’ici consultant indépendant auprès des industries culturelles et créatives, a exercé de 2010 à 2012 les fonctions de conseiller au cabinet du ministre de la Culture et de la Communication, en charge du numérique et de l’audiovisuel, puis du numérique, de l’audiovisuel du cinéma et du jeu vidéo. Diplômé de l’Institut d’études politiques de Paris, et titulaire d’un 3e cycle en relations publiques européennes (CELSA – Paris 4) et d’un Master of Science en « European Policy Process » (Cardiff University), François Catala commence sa carrière en 2003 au sein de l’agence de communication MSC,A comme chargé d’études. Il intègre en 2004 le cabinet de conseil et d’études Media Consulting Group, spécialisé dans les industries de contenus, en tant que consultant, puis il devient responsable du pôle relations institutionnelles et européennes auprès de M. Alain Modot, vice-président. Début 2008, il rejoint le cabinet de conseil Edelman Paris, en tant que responsable de clientèle au département affaires publiques, avant de rejoindre le cabinet de Frédéric Mitterrand début 2010.