Le film symbolise, avec une remarquable efficacité dramatique, la violence institutionnelle faite aux jeunes issus de l’immigration, fiers d’être Français mais contraints de renoncer à tout ou partie de leur culture, de leurs racines, pour être vraiment acceptés dans leur propre pays. – Télérama, Samuel DOUHAIRE
On aimerait écrire ici pourquoi son film nous a tant touchés, mais ce serait risquer d’en trahir la belle idée, le « twist » inattendu. Disons simplement qu’il traite d’identité, ou plutôt d’identités plurielles, montrées dans Le Bleu Blanc Rouge de mes Cheveux avec une force et une pudeur qu’on a rarement rencontrées. – Télérama, Emmanuel TELLIER
En 21 minutes, on se laisse absorber par une tranche de vie éminemment politique qui raconte autant les relations familiales que l’assimilation à la française. – NOVA, Clémentine SPILER
« Le Bleu blanc rouge de mes cheveux » est un coup de maître puisqu’il sensibilise le public à une forme de racisme insidieux. – Konbini, Lucile BION
La jeune réalisatrice Josza Anjembe s’inspire avec brio de son vécu pour nous livrer un film à la fois poétique et percutant. – LCI