Le 2 juin paraîtra le nouvel essai d’Aymeric Mantoux : Voyage au pays des ultra-riches dont voici un petit aperçu :
Notre beau pays compte une trentaine de milliardaires, mais aussi quelque 500 nababs possédant plus de 40 millions d’euros d’actifs financiers. Ce sont les seuls à faire partie du club des « très grandes fortunes », où familles de renom côtoient nouveaux riches.
Dans ce cercle très fermé, on rencontre de vieux play-boys qui courent après leur jeunesse, des milliardaires sociopathes, des aristocrates désargentés mais sympathiques, des stars du net et une bonne palanquée d’excentriques. Autant de personnages hauts en couleurs qui forment l’élite financière du pays et ne parlent jamais publiquement d’argent. Alors qu’en privé, c’est l’un de leurs sujets de préoccupation principaux…
L’auteur s’est promené, stylo à la main, dans les endroits les plus exclusifs et les plus réservés de la planète : sur les ponts des yachts les plus chers, dans les soirées les plus huppées… Des lieux pour happy few toujours plus nombreux ! Car non seulement les riches représentent une caste en pleine expansion, mais ils sont aussi de plus en plus… riches.
Le livre, fourmillant d’anecdotes, raconte comment les contribuables les plus fortunés ne sont pas toujours les plus imposés, grâce au « paquet fiscal » concocté spécialement pour eux. Un manque à gagner pour l’État estimé à 73 milliards d’euros. Et autant d’argent que les plus riches se partagent au détriment de la collectivité.
{Aymeric Mantoux est rédacteur en chef adjoint du magazine L’Optimum et chroniqueur dans Goûts de luxe, sur BFM.
Il a travaillé pour LCI, TF1 et Le Nouvel Économiste et est l’auteur de plusieurs livres :} NRJ, l’empire des ondes (Fayard), Infiltrés, 403 jours au sein de l’UMP et du PS (Privé), Ségolène Royal la dame aux deux visages (L’Archipel), L’Homme qui s’aimait trop (L’Archipel), Nicolas Sarkozy, l’instinct du pouvoir (First) et Jean-Pierre Raffarin, l’homme qu’on n’attendait pas (Cherche-midi).